vendredi 19 septembre 2008

Che Guevara : dit Le Bou Che.


Che Guevara : dit Le Bou Che.

Tout le monde connaît l’inénarrable trogne de l’abject marxiste Che Guevara; son faciès velu et désobligeant orne quantité d’objets les plus futiles. Il y a peu encore, je voyais des agendas scolaires ornés de sa délicate frimousse, comme si l’achat de cet objet ô combien socialisant embelli par cette figure à l’ampleur presque christique, était l’apogée, que dis-je, le parangon de la classe branchouille et révolutionnaire.

Nul doute que tout étudiant qui aura commis cet investissement se verra gratifié de l’admiration ravie de ses camarades agrémentée d’une pointe de jalousie amère à chaque fois qu’il l’exhibera fièrement à l’issue d’un cours. Ce que ces écervelés qui se prennent pour d’énergiques rebelles ignorent sans doute aucun, c’est que le tortionnaire Che, s’il était encore en vie à ce jour, les aurait à n’en point douter, abattus courageusement d’une balle dans le dos après les avoir jugés hâtivement (étape facultative) et traités de fascistes, ou pire encore, de bourgeois (ce qu’ils sont, à leur plus grand déshonneur, je le concède).

Ces jeunes assoupis et enivrés de mollesse mériteraient bien un soufflet doublé d’une obligation de se munir, non pas d’un agenda Che Guevara, mais d’un tant soit peu de jugeote. J’en souhaiterais presque le Che soit encore en vie, cet ennemi farouche du capitalisme, rien que pour qu’il puisse verdir d’une insupportable rage en constatant à quel point l’ingénieux commerce s’est accaparé son aura pour en faire un atout majeur de vente et ainsi atteindre des chiffres d’affaire faramineux.

Ironie du sort, pourrais-je dire. Les affaires vont d’autant plus aller bon train que nous célébrons en ce fatal jour endeuillé, le trépas du sieur Guevara qui a eu la très bonne idée de quitter ce cruel monde depuis quarante ans. Quarante ans de négationnisme historique, de relativisme culturel, de T-shirts Che Guevara et de mensonges procommunistes.

Finalement, en quarante ans, rien n’a changé, il y aura toujours des crétins marxistes du MRap qui iront vous dire que le Che était un homme exceptionnel, humaniste exemplaire et idéaliste, qui vous distribueront une image romantique et pure de cette homme et en profiteront pour faire le discret panégyrique du courage communiste.

En ce qui me concerne, je retiendrai cette date fétide comme le jour pleinement consacré aux abrutis arborant ingénument sur eux une représentation d’un des plus inflexibles meurtriers du siècle dernier (puisse le Saint Esprit ou toute autre entité lumineuse leur faire réaliser que porter un T-shirt du Che ne vaut guère mieux que d’en porter un à l’effigie d’Himmler. Ô effroi, j’entends déjà s’élever claironnantes des voix rédemptrices m’affirmer que le communisme est amplement meilleur que le nazisme, ben tiens…) et par la même occasion l’énième et éclatante preuve de la gaucherie de gauche qui idolâtre des simulacres de fausses idoles en se permettant de falsifier et d’instrumentaliser l’histoire à des fins purement idéologiques, pour ne pas dire, propagandistes (et là nous nous rapprochons pernicieusement des fameuses photographies truquées qui circulaient il y a quelques décennies au sein de la Russie soviétique, sauf que nul n’ira admettre que cette hérésie se poursuit encore en notre époque rayonnante, une paire d’œillères bien ajustées faisant partie de l’attirail du parfait petit citoyen crétin.

Cette énième manifestation de ce tropisme gauchiste (repris d’ailleurs par notre munificent et fienteux président lors de (L’ Affaire Guy Môquet) devrait pourtant en inquiéter plus d’un.

Quitte à ce que ce long pamphlet soit de quelque utilité, qu’il permette d’instruire le gauchiste errant pour qui ces lignes subversives semblent iniques de l’imposture de cet homme dont on nous vante encore la sainteté et qui est devenu, excusez-moi du peu, un nouveau Christ pour jeunes branchouilles (le catéchisme les ayant ennuyés pendant l’enfance, il fallait bien trouver un substitut à ces ouailles candides), qui au lieu de fureter trois heures au H&M du quartier, feraient mieux d’aller ne serait-ce qu’une fois dans leur vie dans une bibliothèque (oui, cela existe encore) consulter un ouvrage historique (mais point ceux, falsifiés et incomplets qu’on met entre les mains des élèves pour mieux les abêtir).

Fidèle à son éthique, ce blog entend casser l'image de l'imposteur marxiste surnommé Le Che. Imposteur ? Oui, car depuis bientôt 40 ans, on nous fait croire à la bonté bolchevique et l'honnêteté stalinienne de ce type. La réalité est bien sûr, tout autre !!

Ernesto Guevara de la Serna est né en Argentine, en 1929, dans une famille bourgeoise argentine. Après avoir caressé l’espoir d’être ingénieur, il s’orientera vers la médecine en 1947 et trop con et feignant il sera infirmier en 1951 sur des cargos militaires.

En 1952, il fait le tour de l’Amérique du Sud en moto, avec un compagnon. De ce périple sortira 53 ans plus tard, le film Carnets de Voyage, navet que tous les bobos de la planète vont idolâtrer et le placer dans leur dvdthèque aux côtés de Fahrenheit 9/11 ou les films "politiques" de Georges Clooney.

Mais c’est également durant ce voyage que le Che va découvrir, selon ses dires, la misère et le socialisme : il va alors rompre avec sa famille et rejeter les valeurs de sa jeunesse dorée.

En 1953, il se dit diplômé en médecine et part à Mexico. C’est là qu’il est présenté en juin 1955 à un certain Raul Castro. Un mois plus tard, il rencontre son frère Fidel. Le Che tombe en admiration devant Castro et il le suivra sans état d’âmes et sans se poser aucune question jusqu’à la fin.

Le 2 décembre 1956, les troupes des frères Castro débarquent à Cuba. Le Che est bien sûr du voyage et il va rapidement devenir le maître de la province de Las Villas. Trop rapidement sans doute. Jaloux de ses succès trop rapides, Fidel Castro va vite ramener sur terre le jeune Argentin. Il ne lui permet pas d’entrer en premier dans La Havane : c’est Camille Cienfungos, moins charismatique qui le fera. Le Che encaisse, comme il encaissera plus tard la mort accidentelle (si l’on en croit la thèse officielle de La Havane) de ce même Cienfungos et la prison à vie de son ami Matos.

Durant cette période "clandestine" précédant la prise de pouvoir, le Che se fait remarquer par sa brutalité. Comme le rapporte Stéphane Courtois dans Le livre noir du communisme, il va, par exemple, faire exécuter un gamin qui a commis le crime abject de voler un peu de nourriture.

Encore dans le maquis, avant la prise du pouvoir à Cuba, il commet quelques assassinats, abattant notamment des suppisés «traîtres». Il donne lui-même des détails, dans ses Mémoires de la Sierra Maestra, sur un type qu’il flingue d’une balle de calibre 32 «du côté droit du crâne», en janvier 1957.

En 1960, il se rend en URSS bolchevique et en revient ébloui. L’idylle ne durera pas, mais cette visite va le conforter dans son radicalisme marxiste.

On peut reprocher quantité de choses à Guevara mais pas son aptitude au terrorisme criminel. En 1961, il participe avec succès à la bataille de la Baie des Cochons, Cuba mettant en échec la tentative de débarquement de la CIA afin de restaurer un régime plus démocratique dans l’île.

Mais la crise des missiles russes va faire voler en éclats une partie de ses illusions. Voyant que l’URSS ne va pas jusqu’au bout de son affrontement avec Kennedy, en refusant une guerre nucléaire (!), Le Che se détourne de ses anciens alliés. Avec la haine de l’amoureux déçu, il commence par se désoler de cette attitude timorée puis se répand en propos de plus en plus violents contre l’URSS. Au séminaire afro-asiatique d’Alger en 1965, il insulte carrément les représentants russes.

Il commence à devenir gênant pour Castro qui décide de l’envoyer en Afrique.

Entre-temps, Le Che a eu des responsabilités écrasantes sur l’île. Il a été responsable de la prison de La Cabana où il va acquérir un nouveau surnom : el carnicerito, le petit boucher. En effet, l’idole des bobos va superviser l’exécution de 200 opposants. Fusillant sans relâche, le Che met toute son énergie à partir du 3 février 1959 à éradiquer toute opposition. Mais en plus de tous ces meurtres d’états, il effectue des simulacres d’exécutions, des tortures, des services moraux comme faire passer 40 heures à des prisonniers sans eau, sans nourriture, sans sommeil. Pour info, la note de Wikipédia, pourtant élogieuse, parle elle de 55 à 550 personnes !!

Certes, le Che n’est pas seul dans cette politique répressive. Raul Castro se flatte d’avoir fait fusiller 68 personnes en une seule journée à l’est du pays. Mais maillon essentiel de la chaîne, le Che est l’un des plus convaincus, des plus fanatiques. Pour lui la répression doit être sans faille, sans pitié.

Ainsi il écrit « Les exécutions ne sont pas seulement une nécessité pour le peuple de Cuba mais également un devoir imposé par ce peuple ». Telle est la réponse, datée du 5 février 1959, signée du commandant en chef du département militaire de la Cabaña, une ancienne forteresse coloniale de La Havane. Vu sous cet angle, on n’a quand même du mal à comprendre l’auréole que certains alter mondialistes néo marxistes mrapistofurieux tressent à un tel assassin. Dans le même ordre d’idée, la presse cubaine reprend les idées du Che avec des titres tels que « les exécutions éviteront davantage de sang » ou « suspendre les exécutions reviendrait à irriter le peuple ». Grand admirateur de la Terreur Française de 1793, Guevara ne peut qu’approuver une répression sans faille.

L’assassin communiste sans scrupules Ernesto Che Guevara, à une lettre de son compatriote, l’Argentin Luis Paredes, qui s’inquiète des exécutions quotidiennes et massives que rapporte la presse internationale. Guevara ajoute : « J’aimerais que vous vous informiez par une presse qui ne soit pas tendancieuse afin de pouvoir apprécier dans toute sa dimension le problème que cela suppose. »[…]

On pourrait penser, naïvement, que ces massacres ne seraient qu’une erreur de jeunesse. Mais en 1964, il persiste et signe comme aujourd’hui le ferait un militant du MRAP : « Nous avons fusillé et nous fusillerons tant que cela sera nécessaire. Notre lutte est une lutte à mort ». Et aussi comme un membre d’Attac ou du parti communiste ou trotskiste d’aujourd’hui, qui n’osent pas allez au bout de leur pensée marxiste: « La haine comme facteur de lutte ; la haine intransigeante de l’ennemi, qui pousse au delà des limites de l’être humain et en fait une efficace, violente, sélective et froide machine à tuer »


Ernesto Guevara la máquina de matar (la machine à tuer) fut aussi l’instigateur du système cubain de camps concentration et de travail forcé, ayant créé le premier de ceux-ci à Guanahacabibes afin de « rééduquer » les opposants à la révolution cubaine. Pour Régis Debray
"C'est lui, et non Fidel qui a inventé en 1960, dans la péninsule de Guanaha, le premier camp de travail correctif" et voilà les fameux stages de rééducation citoyen, le rêve des juges pourris du syndicat de la magistrature française et des mrapistofurieux bolchos ; bande de petits copieurs !

Mais la supervision de la Cabana n’est pas sa seule implication dans la politique de l’île. Il a également des responsabilités économiques. Sa politique socialiste abjecte et imbécile de réforme agraire, de mise en commun des terres et d’éradication de la propriété privée est un échec total. L’armée contrôle tout, y compris la distribution de semis, mais, dans le même temps, le déficit est multiplié par 26 !! L’objectif du Che était que l’île soit totalement autosuffisante.
Les cubains ont droit à une miche de pain par jour de la grosseur d'un poing et l'achète avec un carnet de rationnement comme pendant la dernière guerre. En 1965, c’est le retour à la monoculture de la canne à sucre. Cuba devient une île sous perfusion, ne survivant que grâce à l’aide des pays frères. Guevara qui sois disant en bon apparatchik méprisait l'argent mais n'en vivait pas moins dans un des quartiers privés les plus riches de la Havane.

De plus en plus embarrassé , Castro décide de se débarrasser du Che. Il l’envoie chanter la bonne parole révolutionnaire en Afrique puis en Bolivie. Pour brûler les vaisseaux de son ex-compagnon, il fait lire une étrange lettre où le Che déclare renoncer à toutes fonctions à Cuba. Étrange car sujette à caution, si certains passages sont du pur Guevara, d’autres semblent soit dictés voire carrément réécrits. Quoi qu’il en soit, le Che est effondré quand il apprend que sa lettre qui devait être posthume a été rendue public par Castro.

Sans doute mais un peu tard, comme le corbeau de la fable, se rend-il enfin compte que le marxiste bourreau de Cuba l’a manipulé pendant des années.

Au Congo, il tente de mettre sur pied une guérilla efficace mais confronté au paludisme, à des négros abrutis totalement inefficaces (qui absorbent une drogue qui les rend sois disant « invincibles ») et à des conflits interethniques religieux et raciaux entre militants congolais et rwandais, l’expédition est un échec. Toujours aussi élégant, mais cette fois réaliste il estime qu’il dirige « une armée de parasites ». C'est durant ce périple africain qu'il rencontre Désiré Kabyla, autre grand assassin marxiste. Qui se ressemble...

Il ne réussira pas plus en Bolivie, où il rencontrera des « combattants » étrangers comme Régis Debray. Là aussi, il tente d’organiser des guérillas, d’allumer « un, deux, trois Vietnam » mais lâché par tous, y compris les paysans qu’il est censé représenter, le Che tombe dans une embuscade et est abattu le 9 octobre 1967.

Fidel
Castro s’empare alors de l’image de son ex-compagnon de route et en fait une sorte de martyr politique. Les bobos et les gauchos de toute la planète, en rupture de messie vont alors faire comme d’habitude le reste : occulter toutes les actions négatives de ce vulgaire stalinien psychopathe, évacuer sa désastreuse politique économique communiste et l’élever au rang d’icône comme le jeune « militant » communiste Guy Moquet en France.

Le commerce n’aura alors plus qu’à faire le reste. Voilà pourquoi des milliers d’abrutis boutonneux se rassemblent avec le portrait de leur idole, le plus souvent en connaissant juste son nom. Il est vrai que connaître le vrai Che leur demanderait un minimum de culture et de travail.

Le Che n'est donc au final qu'un vulgaire pantin castriste, vrai tortionnaire marxiste, un assassin communiste et une brute bolchevique. Il a échoué quasiment partout, ruinant la vie de milliers de cubains. Son "culte" n'est pas qu'indécent. Il est surtout la preuve que l'inculture et la bêtise qui mènent hélas un monde devenu totalement aveugle et lobotomisé par le marxisme culturel.

On notera qu'en décembre 2006, la revue Historia a écrit un dossier relativement bien fait afin de mettre "en valeur" le vrai Che. A lire absolument !!
: "En fait, le Robespierre cubain était un tortionnaire illuminé et sans pitié" conclut après enquête François Hauter.

Voilà donc quarante ans que cette chiure marxiste (aujourd’hui on dit militant communiste d’Attac ou du Mrap) a quitté le monde, mort sans aucun honneur lors d’une embuscade; qu’attendons nous pour cesser le tri sélectif et jeter à jamais le stalinien Che dans les poubelles de l’histoire?

Qu’attendons nous pour condamner les crimes monstrueux du communisme, pour interdire les symboles marxistes, au même titre que les socialistes nationaux (Nazis) interdire la nébuleuse marxiste, pour enfin mettre hors d’état de nuire les marxistes staliniens du Mrap, de la LDH de sos racisme et autres saloperies rouges du sang de 150 Millions de victimes ?

Qu’ils rejoignent à perpétuelle demeure toutes les pourritures et les ordures de son acabit, au lieu de laisser cet homme mauvais se faire recycler par de jeunes crétins ignares lobotomisée par des professeurs marxistes.

Ces d’jeunes sont déprimés, abrutis par des décennies de relativisme historique, abêtis par la frénésie du consumérisme qui leur permet d’oublier le vide cosmique de leur médiocre existence. Le Che demeure encore à ce jour, une icône de l’inculture et de la dégénérescence de notre société. Il ne reste plus à souhaiter au peuple cubain qu’un homme éclairé vienne sauver Cuba de l’excrément communiste qui la laisse gésir dans la souillure de cette révolution marxiste inique et redonne à ce pays et ses habitants l’espoir de revenir en arrière, avant 1959, quand Cuba progressais grâce au capitalisme.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Vive le Colonel Barrientos (le grand oublié ans l'histoire, celui qui l'a fait exécuter!)